Le Dimanche 8 décembre 2024 - 18h30 - 26 avenue de New-York, Paris 16e
Lire la suiteLe 1 avril 2019
Classiquenews.com
par Alan Deags posté le 30.03.19
« Le présent album confirme la sensibilité suggestive de la pianiste Marie Vermeulin… »
« Marie Vermeulin retrouve la complicité et l’entente du jeu dialogué entre Clara et Robert (…) L’acuité du propos, l’enivrement poétique, la courbure rythmique, cette passion qui coule comme une eau trépidante et nerveuse… s’entendent ici de l’une à l’autre créateur/trice. Marie Vermeulin exploite et explore les ressources expressives du piano viennois Bösendorfer 280 (…) le piano est ce lieu des confessions et des conversations que Marie Vermeulin sait questionner et éclairer d’une vitalité personnelle, passionnante. (…)
http://www.classiquenews.com/tag/marie-vermeulin/
kkkkk de Kulturradio / ***** de rbbKultur
par Hans Ackermann
« Mit Robert Schumanns « Kinderszenen » und den anschließenden « Waldszenen » hat Marie Vermeulin zwei Werke ausgewählt, die keine Konkurrenz, wohl aber ein höchst poetisches Verhältnis zwischen den beiden Liebenden veranschaulichen: Zwei Künstler im « selben Universum », wie Vermeulin ihr Gesamtkonzept beschreibt – das sie mit feinem Gespür für die lyrische Klaviererzählung und mit klarer Klangvorstellung auf einem Bösendorfer-Flügel umsetzt. Die kostbare Musik der Schumanns ist bei Marie Vermeulin in jeder Hinsicht in sehr guten Händen. »
Gang Flow
par Anne-Sandrine Di Girolamo
« Hommage à Clara et Robert Schumann, ce disque est une porte discrètement entrouverte dans l’intimité d’une maison d’artistes. Marie Vermeulin en est le guide délicat et sensible. »
Resmusica
par Stéphane Friedrich, le 28 mai 2019
« La Réciprocité amoureuse de Marie Vermeulin »
« Marie Vermeulin joue avec beaucoup de tendresse ces pages ambrées, se délectant d’un piano Bösendorfer à la sonorité ronde et chaleureuse, propre à dissimuler la puissance qui peut surgir en une mesure (…) L’interprète pense les phrases dans leur intégralité et ne quitte jamais sa place de conteuse (…). Elle révèle sa personnalité unique comme dans la Romance sans numéro d’opus. Une pure merveille. »
https://www.resmusica.com/2019/05/28/la-reciprocite-amoureuse-de-marie-vermeulin-paraty/?fbclid=IwAR3ZfrhntejaX_DlNrrsSK4qfq4Y6XdNQZnFKxeCXJ_h3rMUAWH_JDaN32U
Portraits de famille, France Musique
par Philippe Cassard, le 8 juin 2019
« Il y a une poésie, une délicatesse, une tendresse dans la sonorité, en un mot la grâce, la Grâce habite Marie Vermeulin d’un bout à l’autre du disque »
Concertclassic .com
Par Alain Cochard, 6 juin
Suite à son concert au Kursaal de Besançon aux côtés de l’Orchestre Victor Hugo Franche Comté, le 6 juin 2019
[…] »le Concerto pour piano – en la mineur comme le sera celui de Robert, achevé en 1845 (avec l’Allegro initial de 1841) – trouve en Marie Vermeulin une avocate convaincante et inspirée. Il vrai que l’univers de Clara Schumann lui parle car elle vient de signer (chez Paraty) un bel album (1) en solo mêlant sa musique (Soirée musicales op. 6, Romance) à celle de Robert (Scène d’enfants, Scènes de la forêt). Volontaire mais sans lourdeur, l’Allegro maestoso donne le ton d’une interprétation engagée, brillante (les compositeurs de style brillant, justement, ont à l’évidence marqué la jeune Clara), mais qui sait aussi, par le raffinement des couleurs et la subtilité des attaques, nimber le propos d’un halo de tendre poésie[…] »
http://www.concertclassic.com/article/debora-waldman-dirige-la-creation-mondiale-de-la-symphonie-de-guerre-1917-de-charlotte-sohy
Bachtrack
Par Apolline Bouzi, 8 juin 2019
[…] » Marie Vermeulin brille dans le Concerto pour piano en la mineur de Clara Schumann. C’est avec aisance et sobriété que la pianiste laisse résonner les gammes ascendantes qui ouvrent l’« Allegro maestoso ». L’interprétation rigoureuse ne laisse au hasard aucun contrechant, aucun phrasé et se révèle une ode au lyrisme contenu qui se dégage du concerto de Clara Schumann. La complicité entre la soliste et la cheffe est indubitable, notamment dans le finale « Allegro non troppo » où les interventions des différents pupitres et du piano s’entremêlent avec beaucoup de virtuosité. […]
En guise de bis, Marie Vermeulin se permet une légère entorse à la ligne féminine du programme puisqu’elle propose la première des Scènes d’enfants … d’un certain Robert Schumann. Difficile cependant de lui en tenir rigueur, tant l’exécution de la pièce est aérienne et gracieuse.[…] »
https://bachtrack.com/fr_FR/critique-sohy-waldman-vermeulin-orchestre-victor-hugo-franche-comte-kursaal-besancon-juin-2019